Cette petite œuvre d'Ontani s'inspire également des figures érotiques de la période gréco-romaine, où le sexe n'était pas un tabou et où les rapports sexuels entre personnes du même sexe étaient fréquents et socialement nè pas inconvenants. On retrouve ces représentations érotiques aussi bien sur des vases que sur des peintures murales, non seulement dans les bordels mais aussi dans les maisons patriciennes, confirmant ce qui a été énoncé ci-dessus.